KOCA, le propriyo... Il nous avait pourtant prévenu d'entrée. Nous avons été bluffé! Son royaume est immense, son nom est partout. Prolifique est un euphémisme. Il n'aurait pas suffi de quatre billets pour mettre tous nos clichés.
Les persos de KOCA sont frappants, toujours de face, souvent balafrés d'une bande verticale sur le visage. Humaines ou animales, pleines d'humour, ces figures ornent fréquemment son lettrage tout en volume...
... et traînent parfois seules au bout d'un couloir, au détour d'un recoins, au bord d'un toit.
Chien, souris, rat, singe, ... le zoo de KOCA s'étend jusqu'à la pieuvre à dents, dont les tentacules armées semblent l'inspirer.
Question compères d'aérosol, KOCA graff pour le 95C (SOZE, FONK, ASEO...) et le PDJ (NOOD, MAKI) comme sur ces fresques collectives posées dans une usine de la banlieue nord de Paris (cliquer pour agrandir la photo).
Pour finir, cette pièce pornograff sur laquelle on s'attarde plus que de nature... tendancieuse et bien faite. Faut croire que KOCA a l'esprit coquin et provoc à la fois. Avis aux âmes prudes, ne pas cliquer sur les photos...